Apres 5 films dont la specialite semble s’i?tre degradee au fil des episodes, la franchise Transformers tente un comeback avec 1 premier spin-off centre sur l’emblematique robot jaune Bumblebee.

Apres 5 films dont la specialite semble s’i?tre degradee au fil des episodes, la franchise Transformers tente un comeback avec 1 premier spin-off centre sur l’emblematique robot jaune Bumblebee.

Un long-metrage qui revient aux origines une saga et privilegie l’emotion a l’action Afin de de nouveau faire rever des spectateurs, petits comme grands.

Un cocktail empreint de reussite ? Malgre un delicieux demarrage, la soiree cale en passant la seconde.

Realise avec Travis Knight (Kubo et l’Armure Magique), Bumblebee reste un prequel prenant place 20 ans avant des evenements de pallier film Transformers. Envoye sur Terre Afin de preparer l’arrivee des Autobots ayant survecu au coup d’etat des mechants Decepticons via Cybertron, B-127 – aka Bumblebee – trouve refuge au sein d’ une tire californienne sous ma forme tout d’un agee coccinelle jaune. Il semble aussi trouve avec Charlie (Hailee Steinfeld), une adolescente passionnee de mecanique et qui a de la peine a tomber sur 1 sens a une vie depuis que son pere est decede. Mais a peine le temps d’apprecier cette amitie du 3eme type que 2 Decepticons retrouvent un trace et menacent la future survie des Autobots sur la planete bleue.

Passe le introduction puissante et nostalgique, il devient vite evident que ce spin-off desire se detacher des derniers Transformers. Ce soir revient Par exemple aux racines d’la franchise, en portant votre nouveau regard concernant la relation entretenue avec les Autobots au milieu des humains, ainsi, non plus sur le combat millenaire qui les opposent aux Decepticons. En resulte votre film a la mise en scene bien moins explosive et qui privilegie le sentimental a l’action en mettant l’accent sur l’amitie qui unit l’heroine endeuillee a l’attachant Bumblebee. Une sobriete qui sert la soiree. autant qu’elle le dessert.

E.T. : L’Extraterreste, Notre Geant de Fer.

Telles seront les ?uvres qui viennent a l’atmosphi?re en regardant Bumblebee – cela n’est au passage pas vraiment votre hasard, Steven Spielberg ayant visiblement chuchote l’idee du film a Paramount Pictures. En depit d’un casting convaincant (aussi si le jeu ultra-cliche de John Cena en militaire simplet nous a plusieurs fois desarconnes), votre spin-off ne parvient malgre tout pas a en reproduire totalement la magie. Car si l’alchimie des protagonistes est bien palpable et l’aventure dans l’ensemble plus touchante et digeste que des precedentes, 1 gout du melo trop prononce, associe a de l’action releguee au second plan, a prejudice a cette production familiale. Ca cause Dans les faits trop et ca broie du noir nombre. Consequence : le film en oublie parfois de nous divertir – si votre n’est au sein des premieres et ultimes minutes de l’intrigue.

Son envie aussi de satisfaire les adultes comme des plus jeunes spectateurs est egalement a double tranchant. Alors oui, les enfants, c?ur de cible de votre spin-off, souriront face a toutes les mimiques et gaffes comiques de Bumblebee, ainsi, se reveront a coup entendu gens tout d’un robot de compagnie aussi amical. Des fans plus ages se sentiront en revanche legerement oublies, malgre des references appuyees a la culture pop « eighties » et a la franchise Transformers qu’ils ont suivie avec assiduite ces dix dernieres annees. Ce film derive ne parvient Indeniablement gui?re a planter de nouveaux enjeux veritablement decisifs, outre manquer cruellement de dynamisme.

Ces defauts paraissent d’autant plus regrettables que le film reste visuellement tres reussi. Malgre le mutisme, Bumblebee, aux reactions animales et juveniles, parvient a partager de multiples emotions a l’ecran, grace a une animation fluide et maitrisee. Mes deux scenes d’action paraissent aussi bien rythmees et jouissent de la retenue qui manquait bien a toutes les derniers volets d’la saga – Travis Knight n’a en effet jamais herite de l’amour inconditionnel de Michael Bay Afin de nos explosions – en particulier celles ou le robot et ses assaillants font l’etalage de leurs talents de transformiste.

Mais encore un coup, votre spin-off ne va pas forcement au bout des idees. Cela y avait principalement pas mal de trucs a faire avec les deux antagonistes Decepticons, capables de se transformer autant en voiture qu’en vehicule volant. Mais mis a part quelques affrontements choregraphies qui envoient et effets graphiques sympas, on reste un tantinet trop via sa faim.

Rien a dire en revanche sur la bande-son qui parvient a capter l’essence des annees 80, tout en des utilisant quelquefois comme ressorts comiques aboutis.

Verdict

Bumblebee est une fable jolie et visuellement reussie qui fera rever les plus jeunes, mais laissera les plus grands quelque peu concernant un faim. Quelques scenes d’action bien rythmees – dont l’une des meilleures sequences d’introduction d’une saga – ne suffisent Effectivement pas a Realiser oublier le caractere trop « melo » de ce spin-off. Car c’est bien l’un des grands soucis de la video : a trop vouloir donner le bourdon, il en oublie parfois de nous divertir.

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